Le fondateur du Taekwon-do
Général Choi Hong Hi
Extrait de : ENCYCLOPEDIA OF TAEKWON-DO, by Gen. Choi Hong Hi, First Edition, 1983, International Taekwon-Do Federation, Volume 1, pages 241 à 263 : About the Author. Traduction de l’Association, 1ère édition.
Notes biographiques sur le Général CHOI Hong Hi, fondateur du Taekwon-Do.
Le FONDATEUR met tant de dévotion envers le Taekwon-Do que l’homme, sa vie et son œuvre ne font qu’un. Dans un but précis et par de longues années de labeur, de zèle et d’assiduité, il développe et met à jour un ancien type d’art martial. Si le Taekwon-Do a aujourd’hui un statut international, c’est à cause des efforts inlassables d’un homme – le père du Taekwon-Do moderne.
Le Général CHOI Hong Hi est né dans la région aride et accidentée de Hwa Dae, dans le district de Myong Chun de la Corée du Nord. Jeune, il est frêle et maladif, ce qui inquiète ses parents. Il démontre cependant un caractère fort et indépendant.
A 12 ans, il est expulsé de l’école pour avoir agi contre les autorités japonaises de la Corée occupée. C’est là le début de ce qui est une longue association avec le mouvement étudiant pour l’Indépendance.
Suite à cette expulsion, son père lui fait étudier la calligraphie auprès de Monsieur Han II Dong, un professeur réputé. Monsieur Han, en plus d’être habile en calligraphie, est aussi un maître du taek Kyon, l’art martial coréen ancien de combat avec les pieds. Le professeur s’inquiète aussi de la condition frêle de son nouvel élève et décide de lui enseigner les exercices rigoureux du Taek Kyon pour l’aider à renforcer son état de santé.
En 1937, Monsieur CHOI poursuit ses études au Japon. Peu avant son départ, cependant, il a la malchance de se trouver dans une chaude dispute avec Monsieur Hu, un lutteur professionnel, qui lui promet de le mettre en pièces à la prochaine rencontre. Cet événement semble pousser Monsieur CHOI vers les études des arts martiaux.
À Kyoto (Japon), Monsieur CHOI suit des cours avec Monsieur KIM, un professeur de Karaté. Après deux ans d’entraînement intensif, Monsieur CHOI obtient sa ceinture noire 1er degré. Comme nous le savons, ce sont les techniques de Karaté alliées à celles du taek Kyon qui sont à la base du Taekwon-Do moderne.
Suit une période d’entraînement physique et mentale à l’école secondaire, à l’école préparatoire et finalement à l’Université de Tokyo. Il fait l’expérience de nouvelles techniques de combat. Lorsqu’il obtient son 2e degré, il devient professeur dans un Y.M.C.A. de Tokyo. Monsieur CHOI raconte que durant cette période, il n’y a pas un lampadaire de la ville qu’il ne frappe du poing ou du pied pour voir si les fils vont vibrer de protestation.
« Je m’imaginais que ces techniques allaient être utiles pour me défendre contre Monsieur Hu le lutteur, s’il devait penser exécuter sa promesse de me mettre en pièces à mon retour éventuel en Corée. »
Au début de la Deuxième Guerre mondiale, Monsieur CHOI se voit forcer, bien malgré lui, de s’enrôler dans l’armée japonaise. Alors en poste à Pyongyang en Corée du Nord, Monsieur CHOI est impliqué dans des manifestations comme dirigeant du Mouvement Coréen pour l’Indépendance, connu sous le nom du Mouvement des Étudiants – Soldats de Pyongyang. Il est interné dans une prison japonaise durant les 8 mois de son enquête préliminaire.
Pour tuer le temps et garder sa condition physique, Monsieur CHOI pratique son art dans la solitude de sa cellule. En peu de temps, ses compagnons de cellule et le geôlier deviennent ses étudiants. À un moment donné, la cour de la prison s’est transformée en un énorme gymnase.
La libération d’août 1945 sauve Monsieur CHOI d’une sentence de 7 ans de prison. Après sa mise en liberté, l’ex-prisonnier rentre à Séoul où il organise le Parti des Étudiants-Soldats. En janvier suivant, Monsieur CHOI reçoit son brevet de Sous-Lieutenant dans la nouvelle armée coréenne. C’est le tremplin qui sert à mettre le Taekwon-Do sur un nouvel orbite.
Peu après, il est fait commandant de compagnie à Kwang-Ju. Le jeune Sous-Lieutenant y allume le flambeau de son art en l’enseignant à toute sa compagnie. Il est ensuite promu Lieutenant et posté à Tae Jon à la tête du 2e Régiment d’Infanterie. Alors à ce nouveau poste, le Lieutenant CHOI fait connaître le Taekwon-Do, non seulement aux soldats coréens, mais aussi aux soldats des États-Unis en poste. Pour la première fois, des Américains sont en contact avec ce qui doit éventuellement être connu comme le Taekwon-Do.
L’année 1947 est pour le Lieutenant CHOI une année de promotion rapide. Il devient Capitaine, puis Major. En 1948, il est posté à Séoul en charge de la logistique et devient instructeur de Taekwon-Do à l’école de la police militaire américaine. Cette même année, il reçoit le grade de Lieutenant-Colonel.
En 1949, il est promu Colonel. Il se rend pour la première fois aux États-Unis afin de suivre des cours à l’école d’État-Major général de l’armée à Fort Riley. Durant son séjour, il présente le Taekwon-Do au public.
En 1951, il reçoit le grade de Brigadier-Général. Il met sur pied l’école d’État-Major général de l’armée coréenne à Pusan comme commandant-adjoint et directeur de la formation.
En 1952, il est nommé chef d’État-Major du 1er Corps d’armée et responsable de renseigner le Général MacArthur durant ses visites à Kang Nung. Au moment de l’Armistice, Monsieur CHOI est commandant de la 5e Division d’Infanterie.
L’année 1953 est remplie d’événement pour dans sa carrière militaire et dans le progrès de son nouvel art martial. Il publie le 1er manuel complet sur le Renseignement militaire en Corée. Il organise et met en place la 29e Division d’Infanterie élite de l’Île Cheju, qui devient le fer de lance du Taekwon-Do dans les forces armées, et établit le Oh Do Kwan (gymnase Ma-Voie) où il arrive non seulement à former des instructeurs-cadres pour toutes les forces, mais aussi à unifier les techniques de Taek kyon et de Karaté dans le système moderne du Taekwon-Do, avec l’aide de son adjoint Me Nam Tae Hi. Vers la fin de cette année, il dirige le Chong Do Kwan (gymnase de la Vague-Bleue), le plus grand gymnase civil en Corée. Il est aussi promu Major-Général.
Techniquement, 1955 marque la naissance du Taekwon-Do comme art martial coréen reconnu. Au cours de cette année, un Comité formé de maîtres, de professeurs, d’historiens et d’hommes publics reçoit des propositions pour nommer ce nouvel art martial. Le 11 avril, le Comité, convoqué par le Général CHOI, se met d’accord sur le nom Teak Kwon Do, d’ailleurs soumis par le Général lui-même. Ce nom remplace différents termes qui portent à confusion, tels que : Dans Soo, Gong Soo, Taek Kyon, Kwon Bup, etc.
En 1959, le Taekwon-Do traverse les frontières. Le père du Taekwon-Do et 19 de ses meilleures ceintures noires font une tournée en Extrême-Orient. La tournée est un succès et l’équipe surprend tous les spectateurs avec d’excellentes techniques. Au cours de l’année, le Général CHOI prend la charge de 2 postes importants : Président de la nouvelle Fédération Coréenne de Taekwon-Do et Commandant-adjoint de la 2e armée à Tae Gu. Cette même année, le Général CHOI publie son premier manuel coréen de Taekwon-Do (le modèle pour l’édition de 1965).
Le Général suit aussi des cours au Texas et par la même occasion rend visite au Jhoon Rhee’s Karate Club de San Antonio où il exhorte les adeptes à utiliser le nom de Taekwon-Do. Monsieur Jhoon Rhee est connu comme 1er professeur américain de Taekwon-Do. Le Général CHOI retourne en Corée comme directeur du Renseignement militaire. La même année, il commande la Force Mobile et prend en charge des écoles militaires d’infanterie, d’artillerie, de blindés, de transmission et d’aviation.
1961 et 1962 sont des années de maturation pour sa carrière militaire et pour le Taekwon-Do. Il dirige les plus grands centres d’entraînement en Taekwon-Do de Corée et est nommé Commandant de la 6e Armée.
Le Taekwon-Do se répand non seulement dans la population et la force militaire coréenne, mais aussi auprès des soldats américains de la 7e Division d’Infanterie qui se trouve sous le contrôle opérationnel du Général CHOI. À travers ses étudiants, le Taekwon-Do fait même son apparition à l’Académie militaire de West Point.
En 1962, le Général CHOI est nommé ambassadeur en Malaisie où il se consacre aussi à développer le Taekwon-Do.
En 1963, l’Association de Malaisie se forme et reçoit une reconnaissance nationale lors d’une démonstration au stadium Merdeka, à la demande du Premier ministre Tunku Abdul Rhaman.
En juin 1963, deux faits importants surviennent : une démonstration à l’Édifice des Nations-Unies à New York et l’introduction du Taekwon-Do dans les Forces armées du Vietnam sous le Major Nam Tae Hi. En février de l’année suivante, une Association de Taekwon-Do se forme à Singapour et des dispositions sont prises pour en former d’autres à Bornéo.
En 1965, l’Ambassadeur CHOI, Général à la retraite, est chargé par le Gouvernement de la République de Corée d’une mission de bonne entente en Allemagne de l’Ouest, en Italie, en Turquie, en République Arabe-Unie, en Malaisie et à Singapour. Ce voyage est déterminant en ce sens que l’Ambassadeur CHOI déclare, pour la première fois dans l’histoire de Corée, que le Taekwon-Do est L’ART MARTIAL NATIONAL. Ce voyage est non seulement à la base de l’établissement d’associations dans ces pays, mais aussi dans la formation de la Fédération Internationale de Taekwon-Do (F.I.T. telle qu’elle est connue aujourd’hui).
En 1966 voit le jour le grand rêve du jeune et maladif étudiant de calligraphie devenu Ambassadeur et Président d’une association internationale d’adeptes d’un des arts martiaux les plus respectés au monde. En effet, le 22 mars, la F.I.T. est formée avec les associations du Vietnam, de la Malaisie, de Singapour, de l’Allemagne de l’Ouest, des États-Unis, de la Turquie, de la République Arabe-Unie et de la Corée.
En 1967, le père du Taekwon-Do reçoit une décoration pour service distingué du Gouvernement du Vietnam et aide à l’établissement de la Fondation du Taekwon-Do Corée-Vietnam présidée par le Général Tran Van Dong. Cette même année, une association de Taekwon-Do se forme à Hong-Kong. En août, le Général visite le » All Americain Taekwon-Do Tournament » à Chicago où il discute d’expansion et d’unification des dirigeants de la US Taekwon-Do Association et dont la visite a permis l’établissement, à Washington le 26 novembre 1967. Durant cette visite, le Général CHOI rencontre aussi Robert Walson, 4ième degré, l’une des autorités en Taekwon-Do aux États-Unis, pour mettre en marche une nouvelle édition du Manuel du Taekwon-Do.
À la fin de 1967, le Général CHOI invite M. Oyama au quartier général de la F.I.T. à Séoul pour continuer leur discussion commencée à Hakone, au Japon. Au cours de cette rencontre, M. Oyama est invité à adopter les techniques du Taekwon-Do. La même année, le président de la F.I.T. choisit cinq professeurs pour les Forces armées de Taïwan, suite à une demande du Général Chiang Kai-Shek adressée au Général Chung II Kwon, alors Premier Ministre de la Corée du Sud.
En 1968, le Général se rend à Paris comme chef d’une délégation de son pays afin de participer à un symposium international sur le sport militaire où le Taekwon-Do fait l’objet de discussion. Une démonstration est faite aux délégués des 32 pays présents. La même année, l’Association de Taekwon-Do du Royaume-Uni est établie. Le Général visite l’Espagne, les Pays-Bas, le Canada, la Belgique et l’Inde en vue de promouvoir la connaissance du Taekwon-Do. À son retour, on lui offre le Premier Mérite en recherche sportive de la République de Corée, pour son travail dévoué envers l’art martial coréen.
En 1969, le Général CHOI fait une tournée dans le sud-est de l’Asie en vue de prendre connaissance personnellement des préparatifs du premier Championnat de Taekwon-Do de l’Asie à Hong-Kong au mois de septembre suivant. Aussitôt après le championnat, il entreprend une tournée de 29 pays et rencontre des professeurs de Taekwon-Do, accumulant des photographies en prévision de la publication de la première édition du Manuel de Taekwon-Do (1972).
En août 1970, il part pour une tournée de 20 pays de l’Asie du Sud-Est, de l’Europe et du Moyen-Orient. Il se rend aussi au Canada. À chaque endroit, il donne des séminaires aux professeurs et cherche à renforcer la F.I.T.
En mars 1971, le Général CHOI assiste au 2e Championnat de Taekwon-Do de l’Asie du Sud-Est au stade Negara en Malaisie et où l’ouverture est faite par le Premier Ministre Tun Abdul Rhajak et la fermeture, par la famille royale.
Durant ces voyages, le Général s’intéresse particulièrement à promouvoir le Taekwon-Do chez les jeunes. Le Président de la F.I.T. joue alors un rôle important dans l’introduction de cet art martial dans plusieurs universités d’Europe, d’Amérique et d’Orient.
Durant la même année, le Général Kim Jong Hyun, directeur des arts martiaux pour les Forces armées, demande au Général CHOI de choisir des professeurs pour les Forces armées de la République d’Iran.
En 1972, il fait une tournée à travers le monde qui en constitue la rétrospective. Le Général CHOI introduit le Taekwon-Do en Bolivie, en République Dominicaine, en Haïti et au Guatemala. Durant cette même année, le Général CHOI, avec le consentement unanime de chaque pays membre, déménage le siège social de la F.I.T. à Toronto.
Au cours des mois de novembre et décembre 1973, le Général CHOI accompagne une équipe de démonstration de 7e degré en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique et en Extrême-Orient. 23 pays sont visités et de nouvelles associations nationales s’établissent dans cinq de ceux-ci. La tournée est un succès. Plus de 100 000 spectateurs assistent aux démonstrations. À chaque visite, le Général et son équipe de démonstration sont reçus officiellement.
1974 est une année d’exhubérance. En qualité de Fondateur du Taekwon-Do, il constate effectivement non seulement la supériorité des techniques du Taekwon-Do et de ses règles de compétition, mais aussi il réalise sa grande ambition de voir le premier Championnat Mondial de Taekwon-Do à Montréal. En novembre et décembre de cette année, il dirige une 4e équipe de démonstration de Taekwon-Do (10 professeurs reconnus internationalement) en Jamaïque, à Curaçao, au Costa Rica, en Colombie, au Venezuela et au Surinam.
En 1975, le Taekwon-Do a le privilège d’une démonstration dans la salle d’opéra de Sidney (Australie). Cette année-là, le Général CHOI donne aussi des séminaires en Grèce et en Suède.
Au milieu de 1976, il visite l’Iran, la Malaisie, l’Indonésie et l’Europe pour se rendre compte des activités en Taekwon-Do et y donner en même temps des séminaire. En novembre, il préside l’ouverture à Amsterdam du premier Championnat Européen de Taekwon-Do.
En septembre 1977, le Fondateur de Taekwon-Do visite la Malaisie, la Nouvelle-Zélande et l’Australie après la réunion de Tokyo durant laquelle il dénonce publiquement le Président de la Corée du Sud, le Général Park Jung Hee, parce qu’il se sert du Taekwon-Do à des fins politiques. Plus tard cette année-là, il se rend en Suède et au Danemark pour aider à la formation d’associations nationales de Taekwon-Do.
En mai 1978, le Général CHOI visite la Malaisie, le Pakistan, le Kénya et l’Afrique du Sud en compagnie de M. Rhee Ki Ha. Cette année-là il dirige la 5e équipe internationale de démonstration en Suède, en Pologne, en Hongrie et en Yougoslavie.
En juin 1979, le Général assiste à la fondation de la Fédération de Taekwon-Do d’Europe à Oslo (Norvège). Il se rend ensuite en Suède, au Danemark, en Allemagne de l’Ouest et au Groenland avec Khang Su Jong et Rhee Ki Ha. En novembre de cette année, il dirige le 6e équipe internationale de démonstration en Argentine.
1980 est une année à ne pas oublier pour le père du Taekwon-Do et pour son art. Avec 15 étudiants il fait un voyage mémorable en Corée du Nord. C’est la première fois que le Taekwon-Do est introduit en Corée du Nord, le lieu d’origine du Général CHOI.
En janvier 1981, le Général CHOI visite le Queensland (Australie) avec M. CHOI Chang Keun, pour présider l’ouverture du premier Championnat de Taekwon-Do Pacifique. À ce moment-là, il aide à former la Fédération de Taekwon-Do du Pacifique-Sud et la Fédération australienne. En juin de cette même année, il dirige la 8e équipe de démonstration à Tokyo. En octobre, il donne un séminaire aux membres-fondateurs du Taekwon-Do en République populaire de Corée, et en novembre, à Vienne, il présente avec fierté une équipe de démonstration comprenant des professeurs de la Corée du Nord et du Sud, lors de l’Assemblée des dirigeants chrétiens coréens du Nord et d’outre-mer.
En janvier 1982, le Président de la F.I.T. voit à l’établissement de la North American Taekwon-Do Federation à Toronto. La même année, il réalise un autre grand rêve datant de 1967 alors qu’un gymnase de Taekwon-Do ouvre ses portes au Japon. C’est une année très occupée; il se rend à Puerto Rico en juillet avec M. Park Jung Tae pour donner des séminaires. En octobre et en novembre, il se rend au Groenland, au Royaume-Uni, en Allemagne de l’Ouest, en Autriche, au Danemark, en Pologne, en Hongrie, en Yougoslavie, en Tchécoslovaquie et en Finlande avec maîtres Han Sam Soo et Park Jung Taek pour promouvoir le Taekwon-Do. Il assiste aussi à la première Coupe Intercontinentale de Taekwon-Do à Québec en décembre et au 2e Championnat d’Europe à Naples en Italie.
En janvier 1983, le Général CHOI visite le Colorado avec Me Lee Suk Hi, président de la Fédération Canadienne de Taekwon-Do pour assister à la promotion au 7e degré de M. Charles E. Sereff, président de la U.S. Taekwon-Do Federation. Au cours des mois de mars, avril et mai, il se rend à Santa Barbara (Californie), en Europe et en Corée du Nord pour la préparation finale de son Encyclopédie. En octobre, il préside l’ouverture du 4e Championnat Mondial de Taekwon-Do à Glasgow en Écosse.
Il est à espérer que chaque professeur/e suive son exemple et mette du temps pour assurer l’intégration de cet art martial dans le milieu scolaire de sa région. Introduire le Taekwon-Do seulement, cependant, n’est pas suffisant. Le professeur/e doit s’intéresser à voir au maintien d’une influence positive du Taekwon-Do pour qu’il soit une inspiration pour les étudiants. Alors et alors seulement, un/e professeur/e peut-il/elle se considérer comme un/e vrai/e adepte de Taekwon-Do.